I got more flavor on the tissue paper under my two boots

Nom & prénom ▲ Bien qu'il ne porte pas la moindre attache à la signification d'un nom humain, ne répondant qu'au nom de Moloch pour ses paires, il s'affubla d'un nom humain classique afin de répondre aux diverses demandes administratives. Disons qu'il est connu pour être Dalach Brown. Dalach étant un sobriquet lui convenant tout à fait, signifiant le trouble dans un élément, présent dans divers versets de la Bible. Moloch se présente ainsi comme la personnification de l'élément perturbateur, effectuant des allés et venus dans le monde humain uniquement pour causer le trouble et l'anarchie.  Date et lieu de naissance ▲ Dans la nébuleuse étoilée, le vide sibyllique ; Age ▲ La nuit des temps, plus âgé que la planète elle même ; Particularités ▲ Une boucle d'or orne son oreille gauche. ; Profession ▲ Directeur de l'aile psychiatrique de l'hopital de New York ; Orientation sexuelle ▲ Pansexuel ; Statut Civil ▲ Collectionneur de belles enfants, de belles femmes, seul pourtant, il ne s'encombre pas. Tout lui appartient, il n'appartient à rien. ; Statut Social ▲ La richesse coule entre ses phalanges vernies de suie. ; Race ▲ Prince démon dans les brumes des vices immondes (Moloch) ; Caractère ▲ Intransigeant - Implacable - Manipulateur - Menteur - Autoritaire - Exigeant - Dominant ; Son groupe ▲ Corrupt ; Crédits ▲ Pathos ;

(א) Puissant démon et prince du pays des larmes, il ne conçoit pas l'existence d'une vision différente de la sienne et aime se comporter comme un tyran auprès de ses paires. Bien qu'il appartienne à la lignée des impériaux démoniaques, il ne se considère pas du même acabit que ses confrères et agit comme un outsider, ne se laissant guider que par ses envies et ses humeurs. Il n'hésite pas à écraser le moindre démon faisant preuve d'insubordination, comme le ferait un général des armées. (ב) Prince démoniaque et empereur du pays des larmes, il a forgé un monde à l'image de sa force et de son tempérament. Le pays des larmes est connu en enfer pour être le rivage le plus tortueux et cruel de tous, là où la torture et la les regrets dansent d'une frénésie macabre autour des âmes perdus, les embrassant et consumant tout espoir ainsi que tout sentiment de rébellion. On dit de ce territoire qu'il pris l'allure d'un continent glacé à cause des larmes froides des pécheurs, cristallisées sur le sol impie de ces terres. Siège en son centre l'impérial dans son palais de glace, entouré de ses plus fidèles esclaves, réduit à l'état d'animaux de compagnie auxquels il inflige milles et un supplices, à son bon plaisir. (ג) Tout lui appartient, tout lui est dû. Il n'aspire qu'à dominer, contrôler, soumettre et détruire. Bien loin de l'incarnation de l'orgueil ou de l'avarice, il ne considère personne comme son égal et n'aspire pas à tout obtenir car il juge que tout lui appartient déjà. Dominant à l'extrême, il écrase le moindre sentiment de rébellion dans l’œuf et personne n'a encore survécu à une de ses colères. Il n'accepte aucune responsabilité et refuse de s’associer à qui que ce soit, considérant que personne ne mérite de se tenir à ses côtés. (ד) Il apparaît en de nombreuses occasions au cours des siècles, provoquant guerres et désolation sur son passage. A l'instar des autres démons royaux, il a fréquenté de nombreux démons jugé de "haut rang", mais ne s'est jamais attaché à l'un d'entre eux. Il ne respecte pas la moindre personne, pas même les autres princes à qui il se juge bien supérieur. (ה) L'impérial s'est toutefois lié à une simple humaine dans un rapport aussi brûlant et dévastateur pour elle que nouveau et excitant pour lui. Cette humain, comme l'incarnation de la bonté et de l'innocence, il l'a fait sienne. Il a fait de cette fille sa chose, son esclave, sa princesse, son animal. Il lui a pris tout ce qu'il désirait lui prendre, bien déterminé à prendre encore plus que ce qu'elle pouvait lui offrir. Véritable obsession, l'humaine est devenue la raison pour laquelle Moloch conserve son identité humaine répugnante, nécessaire à son évolution dans ce monde matériel. Il ne lui offre pas le moindre répit et la laisse s'enfuir uniquement afin de la faire tomber à nouveau à ses pieds, bien conscient qu'elle dansera toujours dans le creux de sa main. (ו) Très satisfait de son statut de directeur de l’hôpital psychiatrique de New-York, sa présence en elle-même est certainement une des raisons pour lesquels les patients de cet hôpital ne guérissent jamais de leurs maux. Bien qu'incomparable au pays des larmes, l'hôpital suit un schéma de torture parfaitement similaire. Traitements aux électrochocs, séances de psychiatrie plus proche du harcèlement que du soin, il respecte les règles de ce petit jeu humain avec un malin plaisir et aime voir ramper les patients pour une dose de médicaments semblable à du poison. (ז) Il n'interfère jamais dans les conflits internes aux démons, amusé à l'idée de voir des êtres de déchirer pour des idéaux aussi vains que stupides. Toutefois il est certain que son intervention dans un conflit provoquerait l'écroulement et la destruction des deux camps. (θ) Il joue au jeu du chat et de la souris avec la source de son obsession, laissant en elle grandir la peur et l'espoir de lui échapper afin de pouvoir l'écraser d'un coup sec, afin de briser son esprit et la rendre docile. (ח) Il ne rechigne pas à l'utilisation de la violence afin de régler ses conflits ou discussions, bien conscient de son influence et de sa puissance. Il peut cependant se montrer très compréhensif à une requête formulé par un autre démon, si cela reste de l'odeur de la supplication et non de la simple demande. (ט) Adepte du sacrifice et des offrandes, Moloch était connu pour être le démon qui tirait sa joie des pleurs des mères à qui il volait leurs enfants. C'est pourquoi, toujours dans cette tradition, il n'accepte de répondre à l'appel d'un humain qu'à condition que ce dernier sacrifie quelque chose de très précieux comme son propre enfant, un parent ou une partie de son corps qu'il devra ensuite jeter au feu, feu duquel l'Impérial jaillira afin de tout emporter, ne laissant derrière lui que des cendres.

TON PSEUDO ▲ OPM ; TON ÂGE ▲ Vingt-deux ans. ; TON PAYS ▲ France ; TA FRÉQUENCE DE CONNEXION ▲ J'ai vendu mon âme. ; COMMENT T'ES ARRIVÉ ICI ? ▲ Je suis l'Eole ; TON AVIS SUR LE FORUM ▲ J'AI VENDU MON AME, BORDEL. ; UN COMMENTAIRE ? ▲ J'espère être à la hauteur pour Moloch. ;

There's a hole in the world like a great black pit and it's filled with people who are full with shit and the vermin of the world inhabit it.

Impérial dans son palais de glace, régent du pays de la souffrance et des larmes, souverain incontesté de son royaume et éminent membre de la famille royale démoniaque, le prince est las. Il observe d'un oeil avide, en quête de ce qu'il ne peut posséder, lui qui possède déjà tout. Tout ce sur quoi il pose son regard doit lui appartenir, tout ce sur quoi il pose son regard lui appartient déjà. Cruel ? Il ne répond qu'à ses instincts. Sauvage ? Certainement pas, il sait faire preuve d'élégance et de raffinement même lorsqu'il met en oeuvre ses fantasmes et rêveries perverses. Qui pourrait l'empêcher d'obtenir ce qu'il désire ? Personne car il possède déjà tout ce qu'il désire. Le temps n'est qu'une fine pellicule, l'effleurant dans une brise éphémère qu'il n'essaye pas de balayer. Il regarde ses bras poser fermement sur les sièges de son trône glacé, n'y perçoit pourtant aucune entrave. Alors pourquoi diable n'était-il toujours pas satisfait ? Depuis maintenant des temps immémoriaux, l'impérial avait fait se prosterner les plus grands hommes et les plus grands démons. Mener des pays entiers à la révolte et la haine par simple caprice, provoquer la chute des empires et des républiques par simple envie. Il n'est pourtant pas Être à détester sa toute puissance, bien au contraire. Mais n'était-il pas rien d'autre que le souverain en papier d'un royaume fait de sable et poussière ? Tout était emporter, tout était briser, tout était oublier.  Sauf lui, impérial. Impérial, si tu es tout puissant, pourquoi n'accepte tu pas simplement ta condition d'être supérieur à qui personne ne peut barrer la route ? Briser les esprits en même temps que les os,  te repaître de leurs souffrances pour les faire tiennes ne t'es donc plus suffisant, tu recherches un défi ? Non, impérial n'a jamais cherché défi avec quiconque, car il fut victorieux avant même d'être impérial.  Mais il rencontra cette pathétique humaine, aussi douce que le visage de ses servantes lorsqu'elles touchaient le sol afin de se prosterner devant lui. Aussi innocente que ces enfants qu'il arrachât aux mains de leurs mères pendant si longtemps. Aussi pure que la divine lumière dans laquelle il se plongea pendant si longtemps avant d'être séduit par les paroles de son beau prince.  

Impérial pense à cette fille et déjà les émotions se bousculent dans sa tête, lui qui était pourtant endormi depuis si longtemps, depuis sa première chute. Le plus beau trophée, faire d'elle et sa lumière une partie de lui. La regarder fuir loin de lui pour ensuite se rendre compte qu'elle reviendra toujours vers lui, qu'elle le veuille ou non. L'embrasser et la battre. L'adorer et la salir. La respecter et pourtant la soumettre. Faire d'elle sa reine et son esclave. Tant de contradictions, d'excitation. Impérial dans son palais de glace, régent du pays de la souffrance et des larmes, souverain incontesté de son royaume et éminent membre de la famille royale démoniaque, le prince est envieux. Il souhaite faire d'elle sa poupée, celle qu'il fera monter sur le plus haut trône et celle qu'il tiendra en laisse comme un vulgaire animal. C'est pourquoi impérial n'est pas doux avec la lumière, il la malmène. Parfois, dans un murmure, il lui récite les plus beaux mots et lui fait les plus belles promesses. Puis il l'étrangle. Parfois il lui arrive de parcourir tout le long de son doigt du bout des doigts, dans une caresse aussi froide que ce palais qui habite son âme. Puis il l'étouffe. Elle ne comprend pas, ne veut pas obéir. Pourtant elle obéit. Des fois il la désire physiquement, sexuellement, car impérial est aussi démon. Alors il la fait sienne, bestialement, il l'embrasse et la mord. Car la lumière doit lui obéir, sans quoi elle ne peut survivre. C'est pourquoi afin qu'elle soit plus lumineuse que n'importe quelle autre lumière, il l'enferme dans la pièce la plus obscure. Il la contemple, la désire et puis la fait ramper à ses pieds. Car impérial fut aussi cette lumière vive, aveuglante. Alors il est naturel qu'elle rampe face à lui, qu'elle s'incline, qu'elle le lèche. Car il fut lumière avant elle, car lumière lui appartient. Folie qui prend place en son esprit, requiem pour les sentiments de douceur qu'il ressenti un jour, orchestre jouant la partition macabre de ses tourments et de ses envies. Car impérial le bourreau, le tortionnaire. Et pourtant il est certainement la personne qui souffre le plus. Parfois il enfonce ses doigts au plus profond de son crâne, il cherche à arracher ces pensées qui se trouvent toutes absorbés dans ce vortex lumineux qu'elle représente. Obsession.

Alors il doit vivre avec ce sentiment de désire, d'envie. Car il fut lumière, envie, luxure, avarice, gourmandise, orgueil, colère et paresse mais qu'il est aujourd'hui impérial. Non pas que sa condition le déçoive, non pas qu'il désire être autre chose. Tout simplement car il désire être tout. Il désire un monde à l'intérieur de ses yeux, un univers à l'intérieur de son cerveau, un paradis sous ses pieds et un enfer au bout de ses doigts. Il désire corrompre, contrôler, dominer, détruire. Petit lumière si douce qu'elle chatouille l'obscur de son innocence, c'est toi qu'il désire. Pris de passion dévorante, il lui arrive d'attraper le crâne d'un de ses servants et de l'écraser sans jamais ressentir. Pourquoi est-il incapable de ressentir alors qu'il ressent tellement ? Peut-être aimerait-il que cette chose qu'il écrase soit cette lumière attirante, envoûtante. Mais la lumière est bien trop précieuse, il ne peut la détruire sans se détruire lui-même. Alors il pleure ses absences, fête ses retours. Il la marque au fer rouge pour que jamais elle ne le quitte et lui briser les os lorsqu'elle désire s'enfuir. Il brise ses jambes avant de les embrasser, il tord son cou avant de la coiffer. Peut-être est-ce là ce qu'ils appellent passion, c'est ce qu'il appelle torture. Et c'est pourquoi il déteste par dessus toute cette lumière qu'il ne parvient pas à éteindre, cette flamme qu'il n'arrive pas à souffler. Parce qu'impérial est symbole de puissance, d'autorité, de stature. Pourquoi devrait-il être défier par la chaleur d'une bougie ? Il la hais, il la déteste. Il la hais, il la déteste. Il la hais, il la déteste. Et pourtant il a tellement besoin d'elle. Synthèse de ses faiblesses, impérial la garde jalousement dans une cage doré souiller d'ombres. Là où seul lui peut le contempler et la regarder se cambrer face à lui, répondre à ses attentes, aboyer entre deux sanglots. Car dans ce monde fait d'ombre et de glace qui est le sien, il n'est toujours pas maître. Car impérial est esclave.

Alors il quitte ce palais qui est le sien pour rejoindre ce fantasme qui est le sien, son obsession. Savourant le moment où elle entendra le bruit de ses pas sur le sol grinçant de sa cave, imaginant la terreur ainsi que la soumission. Se délectant de ce qui n'appartient qu'à lui, ce qui lui a toujours appartenu, ce qui lui appartiendra toujours. Parfois il fait semblant de ne pas la voir, pour qu'elle le cherche. Mais jamais il n'oublie. Obsession. La porte de la cave se referme et il pénètre finalement cette ombre gorgée de cette lumière qu'il conserve si jalousement. Possessif. Elle peut le sentir avant même de le voir, elle sait. Impérial dans son palais de glace et d'ombre, régent du pays de la souffrance et des larmes, souverain incontesté de son royaume et éminent membre de la famille royale démoniaque, Moloch est là.