You smell delicious, so fucking good. Like gunpowder and sweat, whiskey and something deep.

Nom ▲ l'enfant aux couleurs du soleil, petit prince d'un pays à la gloire oubliée, la créature aux milles emprunts marqués par les briques de poussière, Masthet le voleur de dynastie  ; Prénoms ▲ syllabe fluide sur le bout de la langue, les lettres qui s'emboitent, fille du fleuve ou lune du dieu à la foudre, Io aux étoiles qui pétillent sur l'épiderme  ; Date et lieu de naissance ▲ sourire doux de la création, caresse du divin bienfaiteur, l'aube de la création sous les prunelles adulatrices, le vieil homme et la progéniture enchantée devant les aurores du monde  ; Age ▲ le temps qui ronge et grignote, la peau qui se tend et se meurt, Io l'adolescent aux lèvres retroussées sur l'âge qui ne prend pas, à peine trente ans d'apparence, l'allure familière de l'ailé épuisé ; Particularités ▲sur la vague du plumage, courbe à décence, Asriel joue les astres aux quatre milles éclats, les splendeurs qu'Orient raconte à mots déchirés, entre les phalanges joyaux d'univers, Asriel rêveur des astérismes, séraphin du ciel, et sur les cambrures de la bouche éclosent les poussières de météores  ; Profession ▲ pléiade des comètes baladine, dans les paumes au bord des nébuleuses, sur les frémissements des céphéides, Io l'errant esquisse les silhouettes des limbes, l'astronome aux baisers météorites  ; Orientation sexuelle ▲ l'amoureux du sentiment, Io et sa tendresse du coeur, le corps endormi de chaleur, derrière l'épiderme les âmes carnation parangon, phénix travesti, dans les cendres frémissent les renouveaux de baisers, Asriel l'oublié, l'abandon d'un palpitant à l'appétence des visages qui se brouillent  ; Statut Civil ▲ la convoitise apathique, silence de l'essence qui tourbillonne et implose en particules de vivant, incrustés dans la peau millénaire les voyages de thébaïde, sur les lèvres qui s'épanchent les clameurs des vents apaisés, douce solitude aux mille visages ; Statut Social ▲ l'arraché, la lune sans orbite, Io aux petits poings serrés dans les draps de voie lactée, l'amoureux sans étoiles en quête de sa constellation unique, thébaïde aride aux oasis-songes ténus. Dans le palpitant du petit prince éperdus des astres pulsent les trous noirs des aérolithes ravagés. Io romantique et éternel.   Race ▲ l'increvable aux ailes déployées, guerrier des Vertus ; ; Caractère ▲ dans le creux des veines qui serpentent dansent les espoirs rongés, acide qui entache les graines de raison, Io le vieillard aux crevures de l'échine fatigué et obnubilé, Asriel rêveur aux prunelles de nébuleuse, Asriel le danseur de symphonie, le délicat guerrier aux armes déposés, abreuvée la colère, Io l'enfant-baderne, funambule magicien, nécromant chancelant, Asriel langoureux et Io fervent, essence de l'air. Asriel sélénite, Io lunaire. Le tombé du ciel encore amant des supernovas.  
Dans les silhouettes de cendres murmurent les géants et au sein de l'incorruptible frémit le pyrrhonisme perfide, Asriel désorbité, astéroïde en dérive, ignescence cuisante, Io profane, corruption des ailes immaculées, et dans les frémissements du palpitant fulminent les pas qui se tordent et l'entité qui trébuche, Asriel l'imposteur, Asriel l'amoureux, implosion d'une apocalypse vorace dans les atomes en déconstruction, titube l'ombre chimérique de passion ardente. ; Son groupe ▲ écrire ici ; Avatar ▲ rami malek ; Crédits ▲ oneangryshot, shiya,  ;

001. Io l'astronome, des nuits d'amour déclarés aux étoiles scintillantes, l'avidité de les caresser, revoir Pluton, tristesse infinie de les voir mourir et s'éteindre à portée de doigts, et dans la gorge les poésies oubliées qu'esquissent les constellations. Io l'amoureux aux doigts des constellations, sous les yeux les univers miroitant des galaxies, et les caresses des comètes. La silhouette qui se dessine sur les lunes, Asriel le créateur des étoiles, Asriel l'éperdu des lunes aux sourires évaporés. L'ailé aux étoiles. 002. Amant des odeurs. Soupirant des épices et sur la langue les caprices des saveurs. Asriel l'intemporel adulateur de la trivialité des éphémères. Asriel le guerrier conquis par les odeurs de café et de cigarette, Asriel le romantique aux amours de chocolat, Asriel l'insoumis triomphé par la douceur des chiots, Asriel l'éthéré tellement humain, et dans les crocs découverts, le fruit défendu savouré. 003. Fantôme des corridors, champion usé aux armes déposées, dans les méandres des souvenirs Io murmure encore les noms précieux, ceux aux épices sur les lèvres qui se tordent dans le deuil des cénesthésies négligées. Hégires tigresses et affligées. L'ombre du guerrier sur le marbre blanc du sein de Dieu, et les mots qui résonnent à en briser le squelette de l'infatigable. Le doute qui ronge, ronge, perce l'âme et l'étouffe, Asriel le révolté. 004. Sur l'épiderme démuni grince l'ennui, sur les lèvres tordues meurt l'éréthisme. Aux prunelles obscures se dresse l'instinct aride, au regard de grâce tangue l'équilibre et s'épuise les dogmes. Amertume aux dents acérées. L'ange qui refusa dans ses silences. 005. Longues étreintes des bras météores, caresses des nuits qui s'effilent dans les murmures vaporeux des vies indistinctes. Asriel au doute qui grandit à chaque étreinte, Asriel à la pureté flétrie par les souffles qui s'entremêlent, l'ange adorateur des vices. 006. Le visage du petit prince céleste, volé au monde qui se reforme au grès des envols de sable et de poussière. Les traits familiers, et pourtant la douleur dans les muscles. Ces choses si humaines que la souffrance et l'expressivité. Dans les rues de New-York, l'ange est effrayé par son reflet. 007. Pop-culture. Fascination. Asriel aux prunelles météores. Io à l'appétit sans faim. L'immortel qui soudain comprend ce qu'est le temps, lorsqu'éclatent dans ses atomes les réalités fictives, amour gourmand des images qui se fixent et se déplacent. 008. Dans les veines bulles de champagne, nouveau-né des millénaires, affres des conquêtes pacifistes, le vieil Asriel devenu ingénu. S'ouvrent les possibles et les ramures des mondes qui s'entrechoquent, vieille amie des premiers jours, Asriel le reclus au fil des âges, l'humanité aimé depuis l'éden, frémit l'être qui touche et goûte pour la première fois. 009. Effroi dans le squelette des machines de fer, terreur de l'espace qui se dévore et sur les trottoirs trempés se languit une ombre aux ailes dissimulées. Io au refus viscéral, antinomie de celui qui adore et brusquement déteste, loin des voitures de ferraille soudain le séraphin s'étiole pour les statiques étoiles. 010. Peau qui se pâme sous les astres de la nuit, pourtant c'est l'hélios diurne qui lèche l'épiderme câjolé. L'enfant qui apprend à pas titubant, trébuche sans jamais vouloir se rattraper, Asriel si près de succomber aux péchés, l'ange trop faible pour l'humanité, le tigre qui se relève contre les siens pour la faiblesse des uns.  

TON PSEUDO ▲ écrire ici ; TON ÂGE ▲ écrire ici ; TON PAYS ▲ écrire ici ; TA FRÉQUENCE DE CONNEXION ▲ écrire ici ; COMMENT T'ES ARRIVÉ ICI ? ▲ écrire ici ; TON AVIS SUR LE FORUM ▲ écrire ici ; UN COMMENTAIRE ? ▲ j'vous jure, donnez moi des étoiles, je vous écrirai une symphonie.  ;

She watched the sun bleed water out of the icicle. Warm and cold working together to make an icicle. Warm and cold anger working together to make a fury, a fury worthy enough to use as a weapon against the old things that still needed fighting.

Ils ont décidés de miser l'Apocalypse.
Il a les mains dans les constellations, le visage barbouillé de poussière d'étoiles, quand la nouvelle se glisse dans son petit royaume de couleurs. Serpent sournois aux accents charmeurs. Asriel abandonne ses soleils et ses astéroïdes, oublie des météores qui détruisent des satellites. Les Vertus s'arment d'humilité, moralité, générosité. Reste douceur aux ailes fatiguées. Reste Asriel toujours, l'amoureux platonique, le peintre céleste désenchanté. Sur les toiles vierges et les doigts maculés appellent les univers à dessiner, tentation de l'indifférence. Rester cloîtré dans ses galaxies. Modeler les nébuleuses et les supernovas. Perturbé par l'odeur de caféine et les hurlements de rage et de joie, Asriel à genoux pour les Hommes, Asriel vaincu. Petite créature titubante dans les méandres d'une planète récalcitrante. Derrière les buildings l'ailé ébauche les débuts des âges et les succès de l'humanité. Renaît des cendres du rêveur l'enfant allègre, palpite dans les membres le souffle des anciens temps, et l'excitation du renouveau, Io l'éperdu des Hommes, Io le conquis avec exaltation. Sur chaque visage s'esquissent les jours comptés, les vices qui se pourlèchent les babines et les vertus fière au combat. L'ange aux armes déposées.

Elles vont mourir avec eux ?
L'angoisse qui creuse l'âme scintillante. Ô les étoiles. Io aux lunettes dans les bâtiments gris. Eux qu'il adore dans leurs faiblesses et leurs souillures, les bassesses aux relents de pourriture qui chantent à ses oreilles. Asriel éploré pour les pléiades en suspens lorsque cornus et ailés se déchirent les fragiles êtres de chair aux éclats des nébuleuses. Combat aux victimes de cendres qui maculent les murs. Io, silhouette écartelée entre les cieux étincelants et les ombres désincarnées de ses pairs, charognes avides entre les hommes. Si touchants. Dans la gorge du descendu s'étranglent parfois des larmes d'extase, ô la touchante splendeur, l'éclatante fragilité lorsque sous ses doigts les étoiles se meurent et les hommes se plient. Dans la bouche le souffle des céphéides.

Reviens Asriel. Reprends ta grâce.
Murmures le long de l'échine, caresse jusque dans la poitrine. Faible créature aux prunelles brisées. Sous les doigts de l'ange se redresse la fierté de l'homme. Asriel l'effacé. Subsiste Io le passionné, aux amours de papier et de chair, l'imposteur aux sourires qui glissent sur les visages qu'il peint sur les murs des galaxies. Asriel l'enfant boudeur. Asriel vieillard indiscipliné. Les vestiges des civilisations écroulées. Géniture hostile tout en silence, Io dont les yeux se sont nourris des ruines splendides, des stigmates d'une race qui pulse dans ses veines, Io comblé en terrasse des cafés. Gamin têtu aux années indomptées. Coule dans les veines le paradis perdu d'un séraphin engendré sentinelle, le militaire aux bras croisés devant sa propre guerre, celle qu'il ne voulait pas livrer. Petite rébellion personnelle.

Un ailé armé d'une cigarette et d'un kebab ?
Prunelles teintes de colombes qui se déchirent dans les ruelles. Cornes ou plumes. Sur la langue le goût des hommes. Asriel l'immaculé aux élytres qu'il voudrait oublier, ne laisser que Io et sa silhouette factice, celui qui hume l'odeur des cafés et savoure l'acide des pommes. L'ailé qui se croit mortel.
.