LES PERLES DU RP

Je suis partout.

Eden Gainsbourg a écrit:

Se relevant courageuse reine, elle s’égare dans l’appartement, danse de ses jambes sculptées dans l’environnement, papillonne penseuse, dans l’étau d’une implacable histoire chevronnée. Les mots se bloquent, la voix silencieuse chante alors les psaumes latins et grecs d’un savoir interdit, des phrases de contrées embrasées du sous-sol du monde terrestre, les phrases d’un lac éphémère, le cygne nageant dans les nuages de larmes.

Mais tu lis notre rp !
Je pars dans des délires poétiques incompréhensible c'est affligeant à ce stade
Attends-toi à la contre attaque bientôt Kae

Je lis tout. Je stalke tout.

Mais comment tu fais pour avoir les yeux partout ?

Je mange des chips devant mon pc. Ça me donne des supers pouvoirs.

Dalach a écrit:

Il la veut, elle et sa peau diaphane et soyeuse, laiteuse apparition qu'il entrevoit lorsque le verrou cède et que la porte s'ouvre. Elle est là. Elle l'a sans doute entendu descendre les marches, détail qu'il s'applique à réaliser pour la laisser prévoir ce qui allait suivre. Le pacte lui serait présenté. Et elle l'accepterait. Tôt ou tard. La patience déjà lui fait défaut, tout comme le besoin spectral de laisser ses doigts courir sur ses courbes. La faim le taraude tel un prédateur affamé lorsqu'il la contemple enfin, elle qui ne cesse de brûler sa rétine par son indéniable absence. L'amour... ? Non, ce qu'il ressent est laid. Ce qui dévore son être est un monstre aux crocs acérés n'attendant que l'instant propice pour mordre et ne plus lâcher sa proie. Il ressent pourtant une obsession possessive qui le nécrose pour celle qu'il contemple à cette seconde, et dont il ressent la colère. L'oisillon est fâché, et cela lui arrache un sourire moqueur malgré la rose piégée entre ses doigts qui s'éternisent au côté de son être. Il n'y a que lui entre elle et la liberté. Mais il est pire que la porte. Pire qu'une tempête déchainée, car il ne lui prendra pas la vie par accident, il n'en fera pas une martyre, et il sait qu'elle ne se suicidera pas, ou elle perdrait sa place au ciel. « Bonsoir Eden. Comment s'est passée ta journée ? » lui susurre-t-il, infâme ironie cherchant à déceler la faiblesse. Prétexte.

Je tiens à préciser que si je pouvais mettre toute sa réponse je le ferai

Altair a écrit:

La pureté incarnée avait attiré l'attention du souverain du vice. Altair ne voulait plus qu'elle. Ne voyait plus qu'elle. Ne rêvait plus que d'elle. Elle. Elle l'obsédait.

Parce que j'ai adoré cette phrase

Altair a écrit:

Il ne put également s'empêcher de détailler son visage, de fixer ses yeux, ses lèvres, cette gorge claire qui demandait presque à être embrassée, ou mordue. Elle n'avait rien perdu de cet éclat de pureté, et il en fut soulagé.

Parce que votre rp commence énormément bien, on sent tout le danger, je vais le suivre de près

Kaegan a écrit:

Rien, il tape dans le vide. Le stress qui monte, les yeux qui s'affolent. « Non.. Non, non. Non.. ! » La peur d'y retourner. Il relève la tête, regarde la route aux voitures qui polluent. Sa gorge devient sèche. Il fixe le sol, rien. Pas un morceau de cuir, envolé. Volé. « Putain d'merde.. ! » Sa main claque contre le mur, ses paupières se ferment. Agacé, besoin d'une douche froide.

on ressent tellement de choses dans ton rp !

Mirela a écrit:

La brise chaude caresse le visage engourdi. Enveloppe le corps tout entier dans une douce embrassade. Le froid brûle. La chaleur calme. Les extrémités rougies par les températures souffrent en silence.

Mirela a écrit:

Berceau des perdus. L'avenue perfide accueille les désillusionnés. Les rêveurs déchus. Les abandonnées ou les déserteurs. L'un et l'autre se côtoie dans le petit corps voûté.  Se détestent puis se réconfortent. L'un a entraîné l'autre. Provoquant deux chutes, mais dont la seconde semble éternelle.

Je crois que je vais m'arrêter là mais c'est bon vous m'avez tous perdu dans la beauté, je pourrai citer tous les membres tellement vos rps sont intéressants et s'annoncent si riche ! Et après on se demande pourquoi on est tous inspirés

Niall a écrit:

Le jour pouvait bien faire semblant de se lever, la nuit régnait pour toujours entre les deux amants damnés. Le temps passait et n'altérait en rien le puissant désir qui les dévoraient. Dieu était mort et le feu de la passion qui les unissaient brûlait encore et encore.

Pour être franche, chaque mot, chaque phrase de la réponse m'a séduite. Mais je trouve que c'est une conclusion éponyme à une réponse absolument parfaite qui vend du rêve pour tout RPgiste qui se respecte.

Je reviendrai avec des extraits de vos sujets exceptionnels prochainement, parce que je me régale également de vos proses

Tu me flattes un peu trop, démone.

Astrée Beauregard a écrit:

Vile tentatrice que cette dame de glace.
Elle a l’allure de givre d’une matrone, elle qui consume pourtant allègrement les passions, s’adonnant au vif plaisir de la chair, étreintes ruisselantes de fluide en tout genre.
La Putain de Babylone.

Je n'ai plus de mots, y'a juste à lire et à apprécier ...