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Beasts of the Southern Wild

C’est le monstre qui l’enlève de son nuage de peur, de ce lit grinçant lorsqu’elle tourbillonne dans les méandres des angoisses, c’est le monstre doté d’une barbe, surtout ses billes agiles, pernicieuses, perfides ; des mensonges qu’elle ressent, il balance les belles paroles, du miel dans la voiture où jaillissent des mouches, la vermine gluée dans les vertèbres de cette fausses gentillesse. Elle n’a pas eu le choix, l’étau au poignet quand le léopard mordit la biche, ses larmes sur ses joues pâles quand il posa ses doigts sur elle. Assise dans la carlingue, elle observe les marques sanglantes où les ruisseaux de la vie s’égratignent à une respiration saccadée, les rues défilent à ses songes envahis par l’obscénité, l’aura meurtrière du prince de l’enfer. Je ne vous aiderai pas reste bloqué dans sa gorge de lait, alors la question glapit de ses lèvres argentées. Etes-vous le roi des châtiments ? J’irai moi aussi en enfer ? car la princesse ne peut voir son avenir mais désire le silence de l’oubli, l’espérance d’une souveraine sérénité. Le choix ne t’ai pas accordé, tu es à moi lui répondit-il en réponse. Efficace conversation embrasant les pluies de cristal sur son visage couperosé. Un bandeau recouvre la vue, emmenée pour une année dans le tombeau de la séquestration.

Nos cicatrices ont le mérite de nous rappeler que le passé n'a pas été qu'un rêve.

(1) Des carnets collectionnés, sur les pages des croquis disciplinés, sur les marges des portraits de certains passants des rêves médiumnique de la jeune fille, des souhaits de prévenir, des lettre annotées en sage cursives trempées. (2) Des lettres dans un coffret de chêne, écrites sur un papier délicat, l’écriture se délie d’histoires, de raté ; l’enfant gribouille sur sa table, dans son lit, ne lâche son stylo lorsque, enfin apaisée, elle trouve le sommeil sur les regrets. (3) Des chaussons de danse incendiés, elle garde un goût prononcé pour ce blanc rosé qu’elle exhibe sur ses robes de virginale fée ; des vêtements de soie, de dentelle pour l’amoureuse de la tendresse. (4) Une voix papillonnant d’un calme maitre, elle parait jeune sous un visage ravagé par la tristesse, elle parait jeune sous un corps surmonté de peur, pourtant les sons s’élève millier de plumes cristallines pour baumer les étincelles de maux, généreuse à s’oublier. (5) Un violon usé, écorché qu’elle a su retrouver, l’archet dans les limbes, elle serre l’instrument porte bonheur contre sa poitrine désuète, reste des heures à observer l’étrange énergumène qui se prélasse dans le fauteuil moderne.

He takes her in his arms.. He wants to say I love you, nothing can hurt you but he thinks this is a lie, so he says in the end you’re dead, nothing can hurt you which seems to him a more promising beginning, more true -

My friend’s heart is perfume.
I eat her heart with care

I let you go.. and now I am looking for you in everyone else.

“Not all love is gentle. Sometimes it’s gritty and dirty and possessive, sometimes it’s not supposed to be careful or soft at all. Sometimes it feels like teeth.”

MADS MIKKELSEN - 18
VIGGO MORTENSEN- 9
GASPARD ULLIEL - 9
VINCENT CASSEL - 10
HUGH DANCY - 13
RALPH FIENNES- 7
JAVIER BRADEM - 7
MICHAEL FASSBENDER - 12
HENRY CAVILL - 3
MATTHEW MCCONAUGHEY - 11

ROVER - call my name
KID WISE - hope
KAT FRANKIE - people
JABBERWOCKY, ANA ZIMMER - fog
NIGHTMARE BOY - mary
MARY KOMASA - come
SAVAGES - fuckers
COLD SHOWERS - only human
GOLD & YOUTH - time to kill
BARBAROSSA - the load
AaRON - we cut the night
DAVE GAHAN & SOULSAVERS - all of this and nothing
FOALS - night swimmers
EDITORS - océan of night

julianne hough

ffffff

petit bonus + Il faut savoir que Jovis (moi ) ne sait pas qu'il se prénomme comme ça. C'est pas très compliqué à comprendre, il ne sait plus rien de sa vie d'avant. Donc, inrp, si votre personnage veut lui adresser la parole comme dans le bon vieux temps (quand ils étaient colocs dans la même caboche ), il dit parasite.

L’écume crache ses derniers remous, ça gigote là-dedans, et se cognent les connexions du volatile égaré. Les plumes éparses, le bec à l’affut des sardines, rien ne passe, elles se moquent les garces, ricanent quand le bec attrape du vide. Un plumé dans l’eau, emporté par la reine qui remue et s’échoue sur le sable. Quelques mètres encore. Nager. Battre des ailes. Hurler. Corps gonflé de salé. Ballon de baudruche. Trop lourd.

« R’gardez. Faudrait p’t’être l’essorer. Il a mal à la gueule l’pauvre »
« T’peux pas le toucher, c’est un oiseau, c’est dégueulasse et ça mord »
« T’as déjà vu une mouette avec des dents ? »

Recomposed By Max Richter: Vivaldi, The Four Seasons: Summer 2

CRAIG OWENS

until dawn