RUNAWAY

Nom ▲ Gainsbourg, l'on dit que le chanteur écrivait des textes, aucune parenté. ; Prénoms ▲ Eden d'un jardin de suie, oublié, toujours l'espérance de l'humanité, Eden flotte sur les lèvres, deux fois sur le palais avant de sauter sur les dents de nacre, Eden comblé à Marie pour la gentillesse, surtout l'ironie. ; Date et lieu de naissance ▲ New York, la maternité sordide d'une ruelle désemparée, la mère alors vendant son corps enfantant le joyaux d'une couronne honnie un soir de décembre, naissance du Christ. ; Age ▲ Vingt-trois larmes d'onyx ont chuté sur un sol mouillé de cris. La jeune femme semble encore enfant par le corps aux formes de jouvence d'une adolescente. ; Particularités ▲ Des cordes entrelacent ses poignets, des marques violacés sur ses bras timides. Elle possède un pendentif doré qu'elle protège près d'elle.; Profession ▲ Si la folie avait un nom. Elle souhaiterait poursuivre des études en théologie, mais femme est-elle, le sexe tentateur, l'enfant d'Eve. ; Orientation sexuelle ▲ Des traits masculins pour l'angélique, des mains rugueuses pour l'éplorée, elle aime à rêver les torses contre sa peau enchantée, le souffle grave contre son cou fragile, les paumes sur son ventre objet de fécondité. ; Statut Social ▲ Rebut d'une société rationnelle, l'enfant est gardée par le démon des larmes ; enfuie, fugueuse sauvage. ; Statut Civil ▲ Orpheline, elle narre dans les cafés des contes édulcorés, des esquisses dans les marges du visage aimé, craint, respecté, bourreau de la Joconde frigorifiée.  Race ▲ L'enfant des cieux de ses perles amoureuses tente d'une innocence les brebis colériques, elle apaise par les savoirs précieux, les esprits endoloris ; médium fugitif. ; ; Caractère ▲ Généreuse - Attentive - Affolée - Réfléchie - Sauvage - Silencieuse - Observatrice - Un manque profond de confiance en elle - Obéissante - Têtue - Fidèle - Solitaire - Méfiante ; Son groupe ▲ Behind Blue Eyes ; Avatar ▲ Kristine Froseth ; Crédits ▲ Ambroisie, tumblr ;

(1) Des carnets collectionnés, sur les pages des croquis disciplinés, sur les marges des portraits de certains passants des rêves médiumnique de la jeune fille, des souhaits de prévenir, des lettre annotées en sage cursives trempées. (2) Des lettres dans un coffret de chêne, écrites sur un papier délicat, l’écriture se délie d’histoires, de raté ; l’enfant gribouille sur sa table, dans son lit, ne lâche son stylo lorsque, enfin apaisée, elle trouve le sommeil sur les regrets. (3) Des chaussons de danse incendiés, elle garde un goût prononcé pour ce blanc rosé qu’elle exhibe sur ses robes de virginale fée ; des vêtements de soie, de dentelle pour l’amoureuse de la tendresse. (4) Une voix papillonnant d’un calme maitre, elle parait jeune sous un visage ravagé par la tristesse, elle parait jeune sous un corps surmonté de peur, pourtant les sons s’élève millier de plumes cristallines pour baumer les étincelles de maux, généreuse à s’oublier. (5) Un violon usé, écorché qu’elle a su retrouver, l’archet dans les limbes, elle serre l’instrument porte bonheur contre sa poitrine désuète, reste des heures à observer l’étrange énergumène qui se prélasse dans le fauteuil moderne. (6) Insomniaque la princesse, un verre de lait pour la gorger séchée de prières, elle nargue la mort la fillette, anorexie cachée, débusquée, elle refuse les denrées, les plats empoisonnés. Des cordes douteuses enserrant le cou gracile, la mort pour compagnie mais jamais encore déclenchée. L’ombre s’agite. (7) Des livres, totems sublimes, des pages elle contemple, effleure de ses doigts timides les oasis voyageuses pour les histoires éternelles ; les contes possèdent la préférence, les images sucrées admirées pour reproduire sur quelques toiles, morceaux de bois. (8) Sous la couette, emprisonnée dans les draps protecteur, elle aime cette lumière tamisée, se sent rassurée, les couvertures transformées en voile diaphane pour la demoiselle, elle s’en fait un linceul divin, invite monseigneur à partager les légendes, une bougie éclaire à la lune envieuse, les secrets avoués avant le couché. (9) Etoiles compagnonnes des songes ouvragés, la biche peint des nébuleuse enchantées comme rempart pour les malfaisants casaniers, quelques fois elle verse des larmes gelées sur l’encre pailleté, une page qu’elle distille à toutes ses boites à thé. Collectionneuse d’idiotie, de totems passagers. (10) Elle coud l’idéalisée, des aiguilles et de fils, elle construit les veines éclairées, les fleuves bénis de costumes, de robes, de vestes paradant dans la demeure, les capes sanguinolent arme l’oiselle, le soir, quand elle ose fouler de ses chaussons discret les rues étendues de danger.

INTITULE DU LIEN : une idée précise de ce que vous voudrez jouer. Donner des pistes au joueur qui vous demande un lien peu être utile et agréable donc n'hésitez pas.
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