things we lost in the fire.

Nom ▲ lacroix, riche, noble distingué, tout ce qui l'amuse ; Prénoms ▲ abel, la première victime, le premier trahis, ironie mortel  ; Date et lieu de naissance ▲dans des temps immémoriaux, aux cieux; Age ▲ celui des hommes ; Particularités ▲ il aime déguster des âmes, dévoré des virginités, broyé des os, et enflammer vos sens ; Profession ▲ prince marchant sur terre, il s'amuse, fait passer son temps ; Orientation sexuelle ▲ les purs, les innocents, ceux qu'il ne peut que salir ; Statut Civil ▲ marié à une âme aussi noire que la sienne, lui qui n'aime que la pureté ; Statut Sociale ▲ ignoblement riche ;  Race ▲ prince d'une des plus vastes contrés ; Caractère ▲ tu la sens, cette chaleur imuable, celle qui t'enveloppe, celle qui te rends vivant ? et si je te disais, qu'elle n'est là que grâce à moi ? que si je te touche, tu prendras feu ? qu'est-ce que tu ferais ? Tu courrais loin de moi, essayant de t'enfuir le plus possible, refusant d'accèdé à ce pouvoir, à cette joie si dangereuse ? ou tu t'y agripperais ?  ne rêvant que de la sentir encore plus ? là. oui. au plus près de toi. ; Son groupe ▲ corrupt ; Avatar ▲ douglas booth ; Crédits ▲ écrire ici ;

 

INTITULE DU LIEN : une idée précise de ce que vous voudrez jouer. Donner des pistes au joueur qui vous demande un lien peu être utile et agréable donc n'hésitez pas.
INTITULE DU LIEN : une idée précise de ce que vous voudrez jouer. Donner des pistes au joueur qui vous demande un lien peu être utile et agréable donc n'hésitez pas.

Are you high enough without the Mary Jane like me?
Do you tear yourself apart to entertain like me?
Do the people whisper 'bout you on the train like me?
Saying that you shouldn't waste your pretty face like me?

Le mal.
La noirceur.
Indescriptible. Et pourtant tant de page, tant de texte sacré ose s’y aventuré. Dévoilant les courbes, les dessins de cette obscurité. Pourtant son essence ne peut s’y montrer. Car quand on plonge nos yeux brillants d’innocences dans ses aubes abyssales. L’abysse nous regarde en retour. Et quand enfin, elle a posé son attention sur nous, personne ne peut en revenir.
Je ne vous parle pas du mal qu’on nous décrit comme la simple immoralité. Non, je vous parle de quelque chose de bien plus profond. Bien plus noir.  Le vide incommensurable. Ce qui vous ronge l’âme jusqu’à sa dernière goutte.
Ce noir n’existe que lorsque que le feu fini son méfait.
Quand la flamme lampe doucement la chair.  Et ne laisse que des cendres si sombres.
Non, ce noir, ce n’est que la pureté.
Personne ne peut décrire la pureté.



Il était un être, si beau. Ô oui, magnifique. D’un sourire, d’un seul, il enflammait les sens. Il faisait brûler au plus profond de nous, ce feu ardent, ce désire incommensurable. Tout ça ne commençant que par un frisson. Comme si tout ce qu’il y avait avant n’était que froid. Si froid. Et qu’enfin, cette chaleur vous recouvrait. Libératrice. Bienveillante. Renaître.
Puis votre épiderme se réveille. Ça vous grise. Vous excite. Vos poils se hérissent, d’un coup. Peut-être vous préviennent-ils d’un danger ? Non, non, n’y aller pas. Oh.
Votre cerveau s’arrête. Une. Deux. Trois secondes.  Il y a ce chaud. Là. Oui, là. Ne rougissez pas. Vous savez exactement où. Il vous incendie. Et votre corps il lutte, non ? Un liquide se répand, mais ça ne fait qu’empirer. N’est-ce pas, mademoiselle ?
Finalement, vous arrêtez de vous contrôler. Colère. Désir. Rage. Plaisir. Haine. Ardeur.
Bestialité primaire. Vous revenez à la source même de votre être. Sauvage. Indomptable.
Il vous offre vos souhaits, vos rêves sur ce plateau, cette moue du visage. Et on lui offrirait le bon dieu sans concession. Cruel ironie. Pauvre mortel.
Pourtant, ce démon au visage d’ange ne sera jamais complétement à vous. Cette preuve vivante de la concupiscence, de l’hédonisme vous laisse. Vous quitte. Vous abandonne.
Et ça vous enrage. Votre velléité n’en  n’est qu’attisé. Plus, s’il vous plait plus. De lui. De ce sentiment de plénitude, de félicité. De cette perte totale de contrôle.
Quoi ? Il ne vous aime pas ? Il n’est pas satisfait avec vous ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi vous a-t-il fait connaitre un instant le paradis pour dans un claquement de doigt vous l’enlever.
Comment peut-il oser vous faire souffrir de cette façon ?
Vous avez mal.
Tellement mal.
Pire que lorsque que si votre famille est morte, pire que si on vous torturait.
Et c’est là, toute sa malice. Tout son art.
Il ne vous a pas trahis. Il ne vous a pas trompé.
Non, il a fait pire, il vous a donné ce que vous vouliez.
Et maintenant ?
Maintenant après avoir goûté aux plus belles flammes de l’enfer. Vous avez froid.