|
| STATEN ISLAND | Derniers Messages |
---|
|
(CAFE LIBRAIRIE, MUSIQUE) La boutique aux allures de reine est réputée près des adolescents, des jeunes de tous quartiers. Ici ils se réunissent autour d’un verre chocolaté (pas d’alcool, le propriétaire y veille) tandis que la musique onirique perce les oreilles. Il serait bizarre de conter que le gérant fait partie d’une sphère des anges, veille sur la jeunesse avec ses employés.
| | |
(MAGASIN DE MUSIQUE) Petite fortune tintant dans les boites métallique, presque une multinationale pourtant le magasin garde jalousement son nom de domaine. Les CDs par millier se déploient dans leur cocon de plastique, des engins pour se faire une idée de ce que l’on va dépenser avant de passer en caisse à la rencontre d’une femme merveilleusement laide. On ne refuse tout simplement pas la caverne d’Ali Baba.
| | |
(HOTEL) Sans pareil l’hôtel proclame ses prix de luxe, ses prix de monarque, d’ailleurs nombreuses sont les stars passant entre les portes de cet endroit situé dans le fantasque quartier des boutiques de luxe. Voitures sublimes et pouliches sublimes, les pauvres observent dégoûtés, vaguement jaloux. Les suites présentent un obscène dérapage de richesse pour les billets verts s’amassant dans la caisse.
| | |
(PALAIS DE JUSTICE) Les condamnés hurlent des insanités, dans les longs couloirs l’on entend la phrase longuement abordée je suis innocent. Les affaires sont traitées d’un coup de martinet, les juges sont des statures de justice pourtant l’on sait que dans leur poche s’étouffe des corruptions en verdâtres billets. Les victimes pleurent humiliées pour les plus pauvres tandis que les coupables sourient de leur victoire.
| | |
(BUREAU DE POLICE) Bordel est le commissariat entre les femmes éplorées, battues, les enfants enlevés de parents maltraitant et les plaintes qui filent dans les listes par millier. Les policiers circulent en costume impeccables tandis que les portables chantent des sonneries illimitées. Ils sont appelés pour tous services, font régner l’ordre et rentrent chez eux à des heures indues par l’effectif manque de personnel. Au dernier étage se situent les enquêteurs convoités par le peuple des policiers.
| | |
(CINEMA) Les écrans luisent des images, dégueulent la violence, l’amour, les scénarios enchantés, des séances programmées au jour et à la nuit ; ce sont les adolescents que l’on aperçoit le plus souvent dans les salles sombres, certains accompagnés de leurs petites amies. Le film prend des distances avec les effleurements timides d’amoureux transis.
| |
| | Utilisateurs parcourant actuellement ce forum: Aucun
| Modérateurs: | Aucun | Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| Utilisateurs parcourant actuellement ce forum: Aucun
| |
| |
|