Prenom P. Nom
Une citation, une parole de musique
Nom ▲ au choix ; Prénoms ▲ au choix, toutes les consonnances qu'il vous plaira, surprenez moi ; Date et lieu de naissance ▲ dans la poussière et le sable, dans le marbre et l'opulence, plus d'un siècle avant le délicieux messie, peu avant les déferlements divins sur les jolies pyramides ; Age ▲ l'éternelle jeunesse sucrée ; Particularités ▲ écrire ici ; Profession ▲ le pouvoir qui déferle dans les veines, jouissance devant les échines qui se plient ; Orientation sexuelle ▲ au choix ; Statut Civil ▲ au choix ; Statut Social ▲ écrire ici ; Race de ceux qui cohabitent, les âmes qui s'entrechoquent, les possédés aux multiples facettes ; ▲Caractère ▲ le fier, l'orgueilleux à la colère facile, celui au rire qui sonne comme une insulte, ; Son groupe ▲ corrupt ; Crédits ▲ écrire ici ;
Une partie pour faire vivre votre personnage, des tic et manies, ça peut-être n'importe quoi, tout ce que vous voulez. Nous en demandons cependant 10 pour développer un peu. Inter has ruinarum varietates a Nisibi quam tuebatur accitus Vrsicinus, cui nos obsecuturos iunxerat imperiale praeceptum, dispicere litis exitialis certamina cogebatur abnuens et reclamans, adulatorum oblatrantibus turmis, bellicosus sane milesque semper et militum ductor sed forensibus iurgiis longe discretus, qui metu sui discriminis anxius cum accusatores quaesitoresque subditivos sibi consociatos ex isdem foveis cerneret emergentes, quae clam palamve agitabantur, occultis Constantium litteris edocebat inplorans subsidia, quorum metu tumor notissimus Caesaris exhalaret.
Souffle divin sur les dunes. Pestilence toute de puissance drapée, silhouette meurtrière qui déferle sur l'Egypte, et sous les pas les cadavres qui expirent son nom. Les dix plaies ravageuses, terreur et désespoir qui s'entremêlent, Pestilence la terrible. Pharaon qui ne cède pas, pas devant les sauterelles, pas devant les pluies de sang, pas devant la cavalière qui enrage et exulte d'avoir enfin un adversaire à sa taille, l'homme fier dans les pyramides qui la hante. Et soudain survient la dixième plaie, la douleur dans les entrailles de Pharaon, le premier fils arraché, le père dévasté. Et dans l'ombre, Pestilence détruite. La dernière plaie, la victoire de Mort, le frère qui lui vole cette victoire, et la douleur lorsqu'enfin Pharaon abandonne, vaincu par le mauvais cavalier. Elle a déserté, Pestilence, folle de rage, submergée de colère. Et depuis, sournoise, l'obsession de le revoir. Retrouver Pharaon, et cette fois, ne pas laisser qui que ce soit le lui arracher. Avide de le voir enfin à ses pieds, brisé.
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